Un certain courage #2

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A l’écriture du premier récap’, teinté d’humour et de bonne volonté sûrement couplé à une vantardise mal placée, je ne pouvais me douter que la chance, le culot, l’audace, nous mèneraient, mes amis et moi, à vivre tant d’expériences à Cannes.

Rendons déjà honneur à notre bonne étoile qui, lors de notre première soirée à la grande et fameuse Villa Schweppes, permit à notre groupe d’une quinzaine de jeunes journalistes d’entrer devant toute la file. Quelle bonheur, la tête haute, de passer en priorité à une soirée sur invitation, dépassant d’un pas nonchalant la cinquantaine de fêtards présents. Le plus heureux devait être Robin, fier et unique garçon de la bande dans sa tenue de pingouin qui accompagnait ces charmantes demoiselles.

Conseil aux garçons : une robe, des talons et un sourire à toutes épreuves, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Même le carré VIP n’a pas résisté longtemps à notre venue. Lâchant dignement les mots « influenceuse » et « invitée », le vigile ne pu que s’écarter pour nous laisser gravir les marches noires. De notre côté, c’est nous qui n’avons pas résisté aux cocktails servis, échange de bons procédés.

Notre épopée à la villa ne s’arrête pas là. Tout en entrant illégalement (à force d’enrouler les hôtes.esses mon karma doit être dans le négatif) dans l’espace presse, nous faisons la rencontre de Victor* qui nous offre le numéro du responsable des listes « invités ». Vous connaissez déjà la suite de l’histoire … Ni une, ni deux je prends mon téléphone et récupère quelques places sur liste pour la soirée du lendemain, avec Eddy de Pretto en guest. Arrivée comme des princesses (avec notre seul et unique prince), nous passons la sécurité en annonçant le saint graal « six personnes sur liste pour Clap 8 ».
Checkpoint.
Digne des films hollywoodiens. Simple. Basique.

Julia  & Juline