Palmarès 2019 de l’équipe CLAP 8
Voilà, la 72ème édition a pris fin ce samedi 25. L’équipe Clap 8 a aimé, adoré ou même détesté certains films. Ce qui est sûr, c’est que pour beaucoup certains films ne les ont pas laissés de marbre (on pense notamment au film brésilien « La vie invisible d’Euridice Gusmao). Chacun a son petit chouchou, ou sa surprise, mais trois films ressortent du lot et méritaient une palme (chose que ces trois films ont reçu). Le premier, c’est « Parasite » de Bong Joon-ho. Certains l’attendaient de pied ferme, d’autre n’en avaient quasiment jamais entendu parler, mais tout le monde est ressorti conquis. L’équipe a rigolé, a frissonné et a été captivée par cette pépite concoctée par le réalisateur coréen qui a d’ailleurs gagné la Palme d’Or. Le second est un film français, ça aurait pu être « Portrait d’une jeune fille en feu » mais Clap 8 a encore plus craqué pour « Les misérables » de Ladj Ly. Beaucoup en sont sortis choqués et le long-métrage se place comme le film français marquant de cette année. Le troisième est le film palestinien « It must be heaven », ode à la féminité pour certains et bijou humoristique pour d’autres. Elia Suleiman est reparti avec la Mention Spéciale, prix trop faible quand on voit le niveau du long-métrage.
Pour connaître le palmarès entier de l’équipe CLAP 8 : Palmarès Cannes